La salle de classe 11 fût autrefois utilisée par le centaure Firenze durant l'année scolaire 95-96. Firenze remplaçait alors Sybille Trelawnay et donnait donc cours de Divination.
La pièce, aménagée selon Firenze, ressemble a une clairière au sol mousseux entouré d'arbres, lesquels ont bien poussé et ont été entretenu au fil des années, les branches des arbres couvrent les fenêtres offrant une luminosité diminuée, verte, douce et tachetée. Des rochers et souches d'arbres sont disposés dans la salle, ces derniers permettaient autrefois aux élèves de prendre place et de suivre le cours. Le plafond, avec les années, à été revu et ensorcelé pour donner l'impression d'avoir le ciel à porter de main, nuage, étoile, coucher de soleil... c'est la copie conforme de ce qui se trouve à l’extérieure... sans les 'inconvénients' de temps comme la pluie, la neige ou la chaleur, cela semble 'tomber' mais au toucher on ne sent rien. La température ambiante de la salle est situé aux alentours des 20° (il va s'en dire que si le soleil donne à l’extérieur, les rayons chaud filtrent par les fenêtres).
2005, Rusard y serait entré, pensant avoir entendu le son de cloche à venir pour un élève hors du lit, avant de grimacer devant l'état de la salle... - Qu'est ce que... allez Miss Teigne, on s'en va. Si gamin Y'a... il ne retrouvera pas son lit. Hallucination ou non, l'homme grimaça, roula des yeux en soupirant avant de tourner le dos, Miss Teigne sur les talons, prenant bien soin de fermer à double tour la porte de la salle. Comme si cela pouvait empêcher un Alohomora ?! Rusard, franchement.
Les temps ont passé, la salle persiste et certains s'y plaisent, professeurs compris, ces derniers ont fini par veiller et entretenir les lieux.
/!\ Élèves, vous n'êtes pas à l'abris d'un surveillant ou d'un professeur. Faites donc bien attention à l'heure à laquelle vous pénétrez en ce lieu. Une magnifique pièce avec couché de soleil pour déclarer sa flamme à l'élue de son cœur peut rapidement perdre tout son charme et tourner au pire souvenir de votre existence d'adolescent devant la tête affligée et furibonde d'un adulte mécontent de vous trouver là et non dans les dortoirs.